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Publié le janv. 27, 2017 dans Conseils Santé

Pollution urbaine et santé

Que sait-on des effets de la pollution urbaine sur la santé ?

Les polluants issus notamment de la circulation urbaine sont à l’origine de nombreux problèmes de santé :

Par exemple, les nanoparticules contenues dans les diesels pénètrent les alvéoles pulmonaires, oxydent les vaisseaux sanguins et les tissus, ce qui peut être à l’origine sur le long terme de maladies cardio-vasculaires et de cancers. Mais les effets immédiats se traduisent par de la fatigue, des courbatures qui sont des symptômes que l’on relie rarement à la pollution.

D’autres polluants urbains irritent les yeux, les fosses nasales, la gorge, les bronches, et on peut croire à tort qu’on est enrhumé alors que cela ne vient que de la pollution. Il existe d’ailleurs une pathologie nommée syndrome d’irritation bronchique, qui est essentiellement liée à la pollution ; ce syndromeentraîne une toux chronique et lorsque la pollution est importante, la gêne respiratoire s’accompagne de fièvre et de mal de tête. Et cela mime un tableau grippal.

Enfin, la pollution fragilise les bronches, et aggrave toutes les pathologies virales à commencer par les rhinovirus, les virus grippaux. L’inflammation des tissus favorise un effet la pénétration des virus, et l’oxydation du corps contribue à leur virulence.

On pourrait enfin s’étonner qu’il y ait de plus en plus d’allergies respiratoires ; sauf quand on sait que les microparticules de diesel se déposent aussi sur les pollens, les rendant à la fois toxiques et allergisants

Y a-t-il des compléments alimentaires pour prévenir les conséquences de la pollution ?

Comme on ne peut rien faire pour éviter la pollution et qu’il n’y a aucun médicament qui puisse empêcher ses effets néfastes, la seule solution consiste à en limiter les risques pour la santégrâce à certaines règles d’hygiène, et à aider l’organisme à se prémunir contre ses effets.

Les règles d’hygiène consistent à :

Éviter de faire du sport de plein air les jours de grande pollution. En effet, l’activité physique multiplie la pénétration des polluants par la respiration.

Éviter la ventilation de l’habitacle des véhicules dans les zones de grande pollution.

Lorsqu’il pleut, les gaz d’échappement et l’oxyde de carbone pénètrent encore davantage les alvéoles pulmonaires. Car contrairement à ce que l’on pourrait penser, la pluie ne nettoie pas forcément l’atmosphère.

Aérer les pièces et l’habitacle des voitures en dehors des périodes de pollution.

Les compléments alimentaires utiles en période de pollution :

Les antioxydants : Les plus utiles sont ceux qui permettent de lutter contre l’oxydation des tissus par les toxiques environnementaux. Parmi ces compléments l’un des plus utiles pour lutter contre l’oxydation est l’huile de krill. Cette huile que l’on extrait d’un zooplancton est l’un des plus puissants antioxydants marins. Elle protège le sang contre l’oxydation. Et par ce biais elle favorise donc l’oxygénation des tissus et la protection contre les polluants. Il faut choisir une huile pure, la meilleure étant l’huile de krill NKO car extraite à froid.

Des travaux ont également été réalisés sur une des variétés de vitamine E naturelle : le gamma tocophérol est un effet également un bon antioxydant, spécifiquement utile pour lutter contre les polluants. Il s’agit là d’une des vitamines les plus actives sur la pollution urbaine.Une étude de la revue Clinical Nutrition confirme l’intérêt du gamma (γ) tocophérol pour améliorer la fonction des poumons. Cette étude portant sur 580 hommes en bonne santé a montré que leur fonction respiratoire était meilleure lorsque le taux de γ-tocophérol sanguin était normal, en relation avec un apport correct alimentaire. On sait aussi que cette vitamine fait baisser la CRP, ce qui veut dire qu’elle diminue bien l’inflammation.

D’autres compléments peuvent être utiles pour favoriser l’élimination des toxines que le corps à absorbé lors des pics de pollution.

Le soufre : pour être actif comme détoxifiant, il faut l’absorber  sous sa forme organique c’est-à-dire végétale. Des chercheurs ont ainsi pu mettre en évidence l’intérêt des dérivés soufrés. Notamment les sulforaphanes qui sont présents dans le raifort et le radis noir. Ils augmentent l’élimination urinaire du benzène (de plus de 60%) et de nombreux autres polluants de l’atmosphère urbaine, comme les vapeurs d’acroléïne (cette substance issue des graisses et plastiques brûlés est très irritante pour la peau et les muqueuses des yeux et du nez)

L’iode : lorsqu’il y a des pics de pollution il est important que notre organisme ne soit pas carencé en iode naturel. Car dans le cas contraire la thyroïde a tendance à fixer les polluants au détriment de cet élément indispensable à son fonctionnement.

Le protocole suivant peut être conseillé lors des pics de pollution :

OEMINE E 2 capsules le matin

OEMINE KRILL NKO 1 capsule le matin

Les jours de pollution

OEMINE IODE 2 gélules en permanence, en période à risque

Les jours qui suivent la pollution

OEMINE SOUFRE 2 gélules matin et soir pendant 10 jours