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Les carences de l’enfant

Éviter les carences chez l’enfant

Pourquoi il est important de supplémenter nos enfants en certaines vitamines et oligo-éléments.

Les enfants comme les adultes peuvent être carencés. Les carences chez l’enfant sont d’autant plus préoccupantes qu’elles peuvent perturber la croissance et modifier le comportement. Certaines de ses carences favorisent la fatigue, une baisse de la mémoire, une mauvaise concentration. Si elles persistent, elles deviennent la source de baisse d’immunité et de maladies. Voici un résumé en quelques lignes des signes qui doivent alerter

La carence en iode : Elle se traduit chez l’enfant comme chez l’adulte par de la frilosité, de la fatigue. Le réveil matinal est difficile car l’enfant a besoin de beaucoup plus de sommeil pour récupérer. L’iode intervient dans l’idéation, et de ce fait sa carence entraîne des difficultés scolaires. Avec un ralentissement de l’apprentissage.

Chez les nourrissons et les enfants, elle peut être responsable d’anomalies de la croissance et du développement, plus tard d’hypothyroïdie ou de nodules de la thyroïde. On peut dépister sa carence par un simple dosage de l’iode urinaire, qui est le reflet de l’apport en iode des jours précédents.

Pour compenser ou prévenir une carence il est possible de donner à l’enfant Oemine Iode-Algue : 1 ou 2 gélules que l’on ouvre et qui peuvent être incorporées aux aliments. Ceci couvre la moitié des besoins en iode organique issu d’algues.

La carence en phosphore ou phospholipides :  On a accordé au phosphore une importance qu’il n’a pas lorsqu’il est isolé. C’est un effet sous la forme de phospholipides qu’il est actif. Car ce sont les phospholipides ou lécithines qui apportent au cerveau l’énergie nécessaire à son bon fonctionnement. Comme leur nom l’indique, ces substances transportent le phosphore lié aux acides gras essentiels oméga-3. À titre d’exemple, pour montrer leur importance, sachez que les phospholipides sont présents en très grande quantité dans le colostrum. Ils assurent la maturité du cerveau, et pendant toute la vie permettent de reconstituer les membranes des cellules nerveuses. On a aujourd’hui démontré que ces substances jouent un rôle important dans le maintien d’un bon fonctionnement cérébral visuel et auditif. Un enfant carencé en phospholipides aura donc plus de difficultés, tant au niveau scolaire qu’au niveau familial. L’enfant a du mal à se concentrer, à fixer son attention, à accomplir des tâches qui demandent une activité cérébrale soutenue.

Pour compenser ou prévenir une telle carence en phospholipides, il est possible de donner à l’enfant Oemine Memo : 1 ou 2 gélules que l’on ouvre et qui peuvent être incorporées aux aliments. Ce complément alimentaire contient un concentré de phospholipides extraits de la laitance de poisson.

La carence en vitamine D : elle est de plus en plus fréquente en raison de l’utilisation des écrans solaires qui empêchent le corps de la fabriquer. Idéalement, il faudrait pendant tout l’été faire des bains de soleil de 20 minutes avant 11 heures et après 17 heures. Pendant le reste de l’année, les enfants ne sont pas suffisamment exposés au soleil, d’où leur carence en vitamine D.

Pourtant cette vitamine est indispensable à la croissance, notamment à la bonne constitution des os. Elle prévient le risque de fracture lors de chutes chez les enfants.

Pour compenser cette carence on peut donner à l’enfant des vitamines D naturelles : en alternance une semaine sur deux, deux gélules de Oemine D2, qui contient une levure riche en vitamines D2. Et l’autre semaine deux sprays dans la bouche de Oemine D3, qui contient de la vitamine D3 extraite du lichen boréal dans de huile de coco.

La carence en vitamine K : cette vitamine n’est pas bien connue, pourtant c’est le cofacteur de la vitamine D. Elle est donc très importante également lors de la croissance. Comme on la trouve principalement dans les aliments verts foncés, il arrive que l’enfant sont également carencés ; en effet, brocolis, épinards, blettes, salades vertes ne sont pas forcément ses plats préférés. La vitamine K contrôle également la réparation des vaisseaux sanguins, évitant leur dilatation. Chez l’enfant elle prévient la couperose, qui fait suite au rougissement du visage induit par les émotions.

Pour éviter cette carence il est possible de donner à l’enfant des cures de Oemine K lorsqu’on observe qu’il a tendance à rougir facilement plus qu’à l’accoutumée. Une gélule couvre le tiers des besoins. Il s’agit d’un concentré de brocolis associé à de la vitamine K végétale naturelle.

La carence en vitamine B12 : elle se pose notamment chez les enfants de parents végétariens. La mode Végan va également la favoriser. Or cette vitamine intervient dans la synthèse des globules rouges. Elle prévient donc l’anémie. Les enfants carencés peuvent avoir également des troubles neurovégétatifs.

Mais attention aux suppléments alimentaires qui contiennent de cette vitamine de synthèse trop concentrée, car celle-ci ne fait pas forcément l’effet de la naturelle ! Qui plus est, la B12 de synthèse qui figure dans la listes des ingrédients de nombreux compléments alimentaires peut se révéler toxique à la longue. Il vaut mieux choisir de la spiruline concentrée. On peut proposer par exemple OEMINE spiruline 1000, qui est non seulement riche en B12 mais également en protéines utiles pour la croissance.

La carence en vitamines A (vitamine nécessaire à la peau, aux muqueuses et aux yeux) : Le travail devant un ordinateur ou une tablette va la favoriser, car l’œil est mis à rude épreuve par ces appareils. Elle se traduit chez l’enfant par de la peau sèche, de la kératose pilaire (petite surélévation rugueuse autour des poils) du bord externe des bras et des cuisses. L’enfant peut également avoir une baisse d’immunité.

Pour compenser cette carence il est possible de d’apporter quotidiennement en cure alternée : 10 jours par mois deux capsules de Oemine AD, un concentré d’huile de foie de morue et de flétan riche en vitamines A sous la forme rétinol et en vitamine D3. Les 10 autres jours du mois Oemine A deux capsules le matin. C’est un concentré de myrtille et de carotène végétal.

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L’enfant hyperactif

Attention aux compléments multivitaminés : Ils contiennent tout et rien à la fois. Il n’est en effet pas possible de concentrer l’ensemble des nutriments dans des comprimés ou des gélules sans qu’ils soient synthétiques. Ces produits de synthèse sont très mal absorbés, car non organiques. Et s’ils sont absorbés, ils prennent la place des produits naturels sans que le corps puisse bénéficier de tous leurs effets bénéfiques. Il vaut mieux privilégier les formes unitaires de vitamines végétales naturelles ou d’oligo-éléments.

Pour en savoir plus sur les signes de carence, les indications, les sources alimentaires et les besoins quotidiens en vitamines et en oligo-éléments :

Les vitamines vérités et mensonges
Les oligo-élements